Témoignages


​Michel : du catholicisme à Jésus


​Prière à Marie, apparitions, catholicisme


Joseph Tremblay  ( ex évèque )
Fermez la porte à la religion catholique


Alexander Carson  ( ancien prêtre catholique )


Ex catholique libéré par Jésus


Conversion : ex-prêtre catholique benignoTransformé par le Christ :

     Conversion : ex-prêtre catholique benignoTransformé par le Christ :


     Témoignage d'un ancien Prêtre Catholique Benigno Zuniga ancien prêtre d'Amérique du Sud Quoique j'aie été prêtre pendant de nombreuses années, j'ai passé plus de cinquante ans dans les ténèbres spirituelles, car ma connaissance de Jésus-Christ était bien limitée et bien déformée. En fait, le véritable Christ de la Bible restait caché à mes yeux, occulté par de multiples couches d'enseignements religieux compliqués. Je croyais qu’en dehors du catholicisme de l'Eglise de Rome, personne ne pouvait être sauvé, et que le Pape, représentant du Christ sur la terre, était infaillible. Je lui étais tellement attaché que j'aurais donné ma vie pour le défendre. L'enseignement de la religion catholique A l'âge de seize ans, après avoir reçu toute mon éducation chez les pères Jésuites, j'ai décidé de devenir moine. J'ai fait mes études au Pérou, en Ecuador, en Espagne et en Belgique, et j'ai été ordonné prêtre. Pendant bien des années, j'ai enseigné dans des écoles catholiques, puis dans un séminaire ; ensuite j'ai servi en tant que Vice-Chancelier dans le tribunal ecclésiastique de mon diocèse. J'ai été aumônier dans l'armée, et prêtre dans deux des paroisses les plus importantes de mon pays. Comme prêtre de paroisse, je me faisais fort de combattre les protestants.
      Je les considérais comme des hérétiques et j'enseignais à mes fidèles que tous les protestants étaient dépourvus de sens moral. Puisque certains d'entre eux faisaient constamment référence à l'autorité de la Bible, j'ai décidé d'écrire un livre en me servant des Ecritures pour dénoncer cette erreur-là. L'enseignement de Dieu J'ai soigneusement étudié la Bible,  
       chapitre après chapitre, pendant trois ans. J'ai alors été terriblement ébranlé en découvrant que c'était moi qui étais dans l'erreur. Incapable de réfuter ces hérétiques, j'étais moi-même réfuté par ma propre Bible catholique. J'ai vu combien mes croyances catholiques m'avaient éloigné de ma Bible. Souvent, j'étais ému aux larmes de voir que j'avais si docilement adhéré à des pensées humaines au lieu de m'attacher à l'enseignement de Dieu. Cette lecture de la Bible chapitre par chapitre a également eu pour effet d'aviver progressivement ma conscience. J'ai vu combien j'étais loin de Dieu. En tant que prêtre, je projetais une image de sainteté, mais en réalité je donnais prise à toutes sortes de péchés, et ma vie n'avait rien de céleste. Mes soutanes noires étaient bien à l'image des ténèbres de mon cœur. Rien ne me procurait cette paix à laquelle j'aspirais tant : ni les sacrements, ni les prières aux saints, ni la pénitence, ni l'eau bénite, ni la confession de mes péchés à un confesseur humain. Transformé par le Christ Prêtre plus que cinquantenaire, un jour j'ai enfin livré mon cœur à Dieu. Je me suis agenouillé devant Christ ; bien qu'invisible, Il est enfin devenu quelqu'un de vivant et de vrai pour moi. Conscient d'être moins que rien, le cœur brisé, je me suis repenti de L'avoir offensé par ma vie de péché. En esprit, j'ai vu la croix où Son Sang précieux a coulé pour me délivrer du châtiment que je méritais. A la suite de cette prière, le Christ a transformé ma vie. Il m'a appelé hors du tombeau de mes ténèbres Spirituelles ; Il m'a conduit dans une expérience vivante, et m'a donné de Le connaître personnellement, tel qu'Il est. Le secret de l'authenticité spirituelle est de rencontrer le Christ au travers d'une foi sincère et fervente. Là où le Christ règne sans partage dans un cœur, toutes les autres bénédictions spirituelles sont assurées par surcroît.

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Des Prêtres Et Religieuses Catholiques Se Convertissent À Jésus Christ (Extraordinaires Témoignages)


​Une catholique perdue, sauvée par la Grâce


un ex prêtre catholique converti   


​Gérard Bouffard - L'Eglise catholique adore les idoles

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​Ancien Prêtre Catholique Richard Bennett   



Un ex-catholique, converti à Jésus, mais encore ignorant la Parole de Dieu,avait laissé accrochée au mur dans sa chambre l'image de la vierge Marie. Une nuit, cette image tombe et se brise, de façon surprenante. La même nuit, il fait un songe : Dieu lui explique pourquoi et ce qu'il doit faire de ces objets. 


​Témoignage

       A ses débuts de foi en JESUS, le chrétien Brou, encore ignorant la Parole de DIEU, croyait être chrétien. Il a acheté une Bible dans une librairie catholique avec des images représentant Jésus ou Marie. Il avait accroché au mur de sa chambre une représentation (photo) de la vierge Marie catholique.
       Malgré cette ignorance, BROU lisait la Bible et priait beaucoup. Comme quoi, lire la Bible et prier beaucoup ne sont pas des preuves de conversion à Jésus ou de salut. Il lisait surement les Évangiles, les Actes, les Epitres ou l’Apocalyse. Probablement, il lisait aussi des parties ou portions de la Parole de Dieu.
      Une nuit une scène insolite s’est produite dans sa chambre : la photo de la vierge catholique, qu’il avait accrochée au mur, est tombée d’elle-même, sans que quelqu’un ou quelque chose l’ai touchée.
      BROU l’a remise à sa place et s’est couché ; il se réveille dans la nuit : l’image est tombée de nouveau. Il l’a replacée à sa place et s’est recouche. Il se réveille encore dans la nuit : l’image est de nouveau tombée. Il l’a replacée encore une fois et s’est recouché encore une fois. Il s’est réveillé de nouveau dans la nuit : cette fois ci, l’image est tombée et s’est brisée, complètement irrécupérable.
       BROU ne comprend rien. Mais il met l’évènement sous le coup d’un simple incident. Il a fait probablement fait le ménage et est retourné au lit, pour une troisième fois dans la même nuit. C’est alors qu’il fait un songe, inhabituel.
       Dans ce songe, une voix lui parle clairement et lui dit : ‘‘C’est de cette femme (Marie) qu’est né JÉSUS le Sauveur. Mais je n’ai jamais demandé qu’un culte soit rendu à cette femme. Je n’ai jamais demandé que les hommes fassent des statues ou représentations de cette femme pour l’adorer, l’honorer ou la vénérer. Elle peut, certes, être respectée, comme toute personne sur la terre. Mais pas jusqu’à lui rendre honneur, culte, vénération.’’
      A son, réveil, le chrétien BROU a jeté toutes les images et autres représentations ; il a demandé pardon à Dieu, au nom de JÉSUS, pour ses péchés d’idolâtrie, et en a été libéré pour toujours.
      Aujourd’hui le frère Christ BROU est devenu pasteur, premier responsable d’une église évangélique vivante (références voir ci-dessus). De très nombreux témoignages accompagnent le Berger BROU : délivrances d’esprit impurs, attaques de sorciers, démons contre lui et sa victoire, témoignages de personnes que Dieu a sauvées par son canal, , etc.
      Fort de ces expériences que Dieu lui a données sur l’importance capitale de la prière et de la lecture quotidienne de la Bible (il a lu la Bible en entier de plusieurs fois), le Pasteur BROU a institué au sein de son église locale de service la lecture de la Bible et la prière hebdomadaires : chaque semaine des chapitres ou livres de la Bible sont donnés à lire aux membres de l’église, de même que des programmes de prière, selon des canevas bibliques.
      Ceux qui font ces exercices bibliques rendent témoignage de leurs bienfaits et ne peuvent plus se passer de la prière et de la lecture de la Bible, Parole de Dieu. Au point où toute l’église locale a déjà lu et médité tout le nouveau Testament.
      Exemple : au 29 octobre 2014, toute l’église lisait et méditait Lévitique chapitres 1 à 6.

(à suivre)

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Un prêtre catholique rencontre Jésus
Témoignage de George Kucera

 changement radical
 
Par Sentinelle le mardi, 23 novembre, 2004, 00h00 - Le Catholicisme - Lien permanent
Un prêtre catholique rencontre Jésus
Témoignage de George Kucera
           Aux yeux de l'Eglise catholique, je reste prêtre, "sacerdos per aeternam", (prêtre pour l'éternité). Mais est-ce vrai, puisque maintenant je rejette ce rôle ? Après avoir été prêtre catholique pendant seulement cinq ans, j'ai reporté ma fidélité sur la prêtrise de Jésus-Christ et sur elle seule, sans intermédiaire aucun, et pour toujours, car c'est lui qui est mort pour mes péchés. Pourquoi ce changement radical ?
           Ayant reçu une éducation à la fois traditionnelle et rigoureuse dans une famille catholique, jamais je n'avais examiné en profondeur ma vie religieuse et le contenu de ma foi. J'allais à l'église sans trop penser à ce que je faisais, et je me soumettais de façon routinière aux préceptes des évêques. Ces derniers n'étaient-ils pas les véritables garants de la vérité, un "pont" entre Dieu et son peuple ?
           Mon père, qui avait fait ses études chez les Jésuites, a veillé à ce que je reçoive une éducation très stricte. J'ai appris combien il était important de m'appliquer à l'école, d'obéir à mes parents, et avant tout, de mener une vie pieuse. Il fallait du courage pour confesser publiquement une foi religieuse quelle qu'elle fût dans mon pays natal, en République Tchécoslovaque, car les communistes persécutaient tous ceux qui manifestaient une vie spirituelle sous une forme ou une autre. L'Eglise catholique vivait dans l'illégalité. Le gouvernement interdisait la lecture des livres et des revues théologiques. Mon père, fervent catholique, a même été brièvement incarcéré à cause de sa foi. Malgré le danger, nous allions à l'église tous les dimanches, et chaque jour nous disions une prière avant les repas et avant d'aller nous coucher. Une fois par semaine, nous invoquions Marie en récitant le chapelet.
           J'aimais servir la Messe ; l'odeur des cierges et de l'encens me plaisait, ainsi que les merveilleuses sonorités de l'orgue. Je me réjouissais de mériter le privilège d'être tout près de l'autel, là où le prêtre "offrait Jésus en sacrifice, sous les apparences du pain et du vin". Je trouvais tout cela mystérieux et passionnant. Pendant vingt-cinq ans j'ai eu des activités à l'église de l'Archevêché, un immense et magnifique édifice gothique. Je servais "la sainte messe", je tenais parfois l'orgue pendant les liturgies, je participais aux réunions de la paroisse, et je faisais des lectures bibliques. Jamais je n'oublierai les extraordinaires célébrations de Noël ou de Pâques. Souvent je me frayais un chemin dans la neige et le froid pour aller à l'église de bonne heure le matin, et je ne repartais que l'après-midi. Quand j'étais étudiant à l'Université, j'allais à la messe de six heures tous les matins.
           A l'âge de vingt-huit ans, je travaillais comme informaticien. En tant que violoniste, je participais à des concerts publics ; mais j'ai décidé que l'idéal, pour ma vie, serait de me mettre au service de Dieu en faisant des études pour devenir professeur, car l'enseignement me plaisait beaucoup. Je souhaitais aussi conserver des activités musicales. Comme il était impossible de recevoir une formation de prêtre en République Tchécoslovaque, je me suis enfui : en passant par la Yougoslavie, j'ai gagné l'Italie, et là, avec le statut de réfugié, j'ai commencé des études de philosophie et de théologie à l'Université du Latran.
           C'est une mission internationale catholique allemande qui a financé toutes mes études à Rome pendant cinq ans. Elle m'a beaucoup aidé. J'ai reçu tout ce dont j'avais besoin pour mes études, et pour être franc, je dois dire que j'ai pris plaisir à ce système de "vie en communauté". Il offrait beaucoup de confort et j'avais peu de responsabilités. Cependant, je voyais parfois la "puissance catholique" à l'œuvre dans la formation religieuse des futurs responsables d'église ; je voyais aussi l'hypocrisie qui s'attache à l'obéissance aveugle aux autorités. Mais j'ai fait de mes études de théologie mon centre d'intérêt exclusif, sans accorder beaucoup d'attention à ces questions importantes.
Par ailleurs, dans le cadre de ma formation, d'autres aspects du catholicisme me sautaient souvent aux yeux. J'ai commencé à mémoriser le contenu du "Magistère de l'Eglise". "Magistère" veut dire "autorité pour enseigner". Cette autorité avait établi un enseignement immuable : nous ne pouvions aucunement en débattre, ni manifester le moindre désaccord. J'ai vu là une autre forme de communisme, une sorte de "communisme ecclésiastique" qui clamait en substance : "Tout ce qu'on vous dit, faites-le, et taisez-vous !" Ce refrain n'avait rien de nouveau pour moi : je ne l'avais que trop entendu dans le système totalitaire communiste. Tout cela m'a beaucoup fait souffrir. Cela m'a poussé à réfléchir.
           Cette interdiction de réfléchir et d'agir m'a toujours beaucoup troublé, je dois le dire. Etant mathématicien, j'aime ce qui tombe juste ; j'aime qu'en fin de compte, on puisse attribuer une valeur spécifique à toutes les "inconnues". J'ai donc commencé à avoir des doutes en étudiant l'histoire des dogmes catholiques et la théologie de Thomas d'Aquin, qui repose entièrement sur la philosophie païenne d'Aristote. En fait, d'un point de vue catholique, j'avais trois "torts" : je me suis mis à lire la Bible, je me suis engagé dans une réflexion personnelle sur toutes les déclarations et toutes les pratiques de l'Eglise romaine, et j'ai commencé à désobéir à mes supérieurs.
           Je me suis efforcé d'étudier par moi-même, et de chercher les réponses aux questions que je me posais. Je lisais volontiers la Bible, et surtout j'aimais en faire l'exégèse. Cela m'a fait comprendre que ma vie spirituelle était envahie par les rendez-vous, par la bureaucratie, et par toutes sortes de distractions. Les écrits du théologien et psychologue allemand Eugène Drewermann, sur l'incapacité de l'Eglise catholique à "guérir", confirmaient à mes yeux l'absurdité des pratiques catholiques obligatoires face au plan salvateur de Dieu. J'ai dû reconnaître mon incapacité à obéir à toutes les lois que doit observer un "saint prêtre" : il fallait dire chaque jour les longues prières du Bréviaire, célébrer jusqu'à trois ou quatre messes par jour, entendre les confessions, et diriger d'innombrables enterrements. A moins d'avoir soi-même été prêtre de paroisse à Rome, (où ne viennent à la messe que des personnes âgées ayant un besoin superstitieux de rendre un culte aux statues et de pleurer aux enterrements) on ne peut pas savoir à quel point j'ai souffert dans mon esprit. Il était absolument impossible de faire bouger quoi que ce soit ; j'ai tout de même essayé de changer un peu cette mentalité italienne. Mais cela se retournait toujours contre moi ; on ne manquait pas de dire que j'étais jeune et inexpérimenté, et que je venais de l'étranger.
           Cela faisait à peu près trois ans que j'étais incapable de prononcer les paroles : "Je t'absous". Je les trouvais blasphématoires. J'ai commencé à réfléchir aux enseignements de la Bible : "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité." (1 Jean 1:9). "Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé." (Romains 10:13).
           Quand j'observais l'Eglise catholique de l'intérieur, j'avais l'impression d'être dans un vaste supermarché, où tout s'achète à prix d'argent : les sacrements, les intercessions, le paradis pour un cher disparu, le pardon, et même la grâce ! Tout cela reposait sur le principe : "Tu dois !", et sur d'innombrables devoirs. Mais désormais j'étais en quête de la foi authentique selon Dieu, de la foi conforme aux Ecritures. Voici ce qu'enseigne la Parole de Dieu : "Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons d'avoir eu par la foi accès à cette grâce dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l'espérance de la gloire de Dieu." (Romains 5:1-2).
           J'ai toujours été convaincu que tout chrétien est "prêtre", au sens où le proclame l'Ecriture sainte : "Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière." (1 Pierre 2:9). Je n'ai jamais accepté la distinction que fait le catholicisme entre les prêtres et les moines d'une part, et d'autre part les "laïcs" qui ne servent pas le Seigneur à plein temps. Sur ce point, ma pensée était déjà conforme à la Bible et je n'aurais donc probablement pas dû être ordonné prêtre. Mais voilà, j'hébergeais l'espoir de voir changer l'Eglise catholique, comme semblaient l'annoncer certains documents de Vatican II. Quant au "purgatoire", j'avais toujours eu des doutes à son sujet, même au temps où je me préparais à la prêtrise. Je voyais bien que c'était une notion purement philosophique au sujet de l'âme humaine, une notion étrangère à la Bible, parce que le Seigneur a dit : "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie." (Jean 5:24).
           En fin de compte, après avoir passé sept ans à lire la Parole de Dieu et à y réfléchir, après avoir relu l'histoire du développement des sacrements et des divers dogmes ecclésiaux, j'ai commencé à voir clair. Je me posais la question : "Combien de messes, et combien de souffrances me faut-il accumuler pour être sauvé ?" Cette question me hantait constamment, tout au long de chaque cérémonie. Puis en mai 1999, j'ai marqué un temps d'arrêt, et j'ai médité sur cette parole de la Bible : "Sans effusion de sang il n'y a pas de pardon." (Hébreux 9:22).
           "Donnez-moi un point d'appui, et je soulèverai le monde", disait Archimède. Je vois où il est, ce point d'appui, ce point absolument fixe : il s'agit du Christ Jésus des Evangiles, du Fils de Dieu, mon Seigneur et Sauveur. Tout le reste est secondaire ! La structure compliquée de l'église hiérarchisée, les anciennes traditions humaines et les dogmes changeants sont à côté de la question.
           J'avais l'habitude d'administrer les sacrements à des paroissiens fort âgés. Quel contraste avec les églises évangéliques où l'Evangile était vécu, où les jeunes chantaient pour le Seigneur avec beaucoup d'enthousiasme ! Après avoir personnellement connu les superstitions et les rituels complexes du catholicisme, j'ai trouvé sur ma route des gens qui vivaient dans la liberté de Christ, qui est la Vérité en personne. Je me suis souvenu de ce qu'il avait lui-même dit : "la vérité vous affranchira." (Jean 8:32).
           Dès 1999, j'avais compris que j'étais devenu un problème pour le système catholique romain. A l'occasion d'activités musicales, j'ai fait la connaissance de deux missionnaires de l'Association des Baptistes Conservateurs (Conservative Baptist International Mission Organization). Tout comme certains autres prêtres, je savais me donner un air supérieur et audacieux, comme pour dire : "Le catholicisme possède la vérité : alors arrière de moi, espèce de protestant !" (Cela se dit encore aujourd'hui à Prague, où les catholiques restent fiers d'avoir fait brûler vif Jan Hus, il y environ six cents ans.) Chose étrange, j'avais encore à découvrir que non seulement ces missionnaires étaient la douceur et la courtoisie même, mais encore qu'ils mettaient en pratique l'Evangile de Christ dans les divers domaines de leur vie. Ramené à plus de modestie, j'ai commencé à les voir plus souvent. J'assistais aussi à leur culte du dimanche, quand j'arrivais à m'échapper du confessionnal entre deux messes. Ils m'ont offert de nombreux livres, que j'ai tous lus. Pourquoi donc ? C'est que jamais rien de semblable ne m'était encore arrivé, et tout à coup, je me sentais porté dans une autre direction…
           Quelle beauté dans la simplicité et la véracité de cette source unique, accessible à tous : les saintes Ecritures ! Béni soit le Saint-Esprit qui m'a ouvert les yeux ! Ce sont les Ecritures qui m'ont appris la foi personnelle dans le Seigneur. C'est lui qui m'a trouvé, et le sang qu'il a versé sur la croix me procure le pardon de mes péchés. Il la fallait, cette intervention souveraine du Saint-Esprit, car spirituellement parlant, j'étais mort. Dès lors, cette parole de l'Apôtre Paul devenait vraie pour moi : "En effet, la loi de l'Esprit de vie en Jésus-Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort." (Romains 8:2). Etant donné qu'il y a un lien direct entre la rédemption opérée par Christ et le ministère du Saint-Esprit, je vois maintenant qu'au temps de ma prêtrise je commettais une erreur de nature à damner les âmes, quand je donnais au baptême des nouveaux nés la place qui doit revenir à l'action directe du Saint-Esprit. En effet, comme le dit l'Ecriture, "Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit." (Jean 3:6). L'intervention du Saint-Esprit était absolument indispensable pour que je vienne à Christ en tant que pécheur ; et c'est ce même Saint-Esprit qui applique la rédemption de Christ à tout pécheur qui met sa foi en Christ seul pour être sauvé.
           Oui, les voies de Dieu sont insondables, et le Seigneur Dieu est infiniment grand. Quand on a quarante ans, on reste capable de rêver un peu ; cependant, une chose est certaine : les transformations qui sont survenues dans ma vie n'ont rien à voir avec un goût pour l'aventure. En fait, dans sa grâce, Dieu a répondu à ma quête de la Vérité, et à mon désir de connaître le sens de l'Evangile.
           J'ai été baptisé en juillet 1999. Par cet acte symbolique, j'ai pris l'engagement de suivre mon Seigneur et seul Sauveur, en marchant dans l'obéissance, dans une relation personnelle avec lui. C'est lui qui m'a appelé à croire et à me faire baptiser. Enfin cette parole se réalisait dans ma vie : "Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira." (Jean 8:32).
           Je rends grâce au Seigneur de m'avoir appelé, car il m'a tiré du sommeil et mis à cœur de le chercher. Je lui rends grâce de m'avoir donné le courage et la force de tout quitter en faisant confiance à Jésus-Christ, le Seigneur et le Sauveur qui m'appelle par mon nom. Avec lui, toutes choses sont possibles, et rien n'est impossible ! Je remercie le Seigneur Jésus-Christ de m'avoir aidé à trouver le bon chemin qui me permet de vivre selon la Vérité, au lieu de mener une existence pleine de zèle religieux et de "mérites", mais où règne la mort spirituelle. Je remercie les missionnaires rencontrés, et leurs merveilleuses familles. Cela est certain, Dieu les a mis sur mon chemin au bon moment ; ils ont ajouté les quelques gouttes qui me font dire : "ma coupe déborde". Que Dieu vous bénisse tous, pour toutes vos bontés ! Aujourd'hui, je peux proclamer avec joie : "Voici, Dieu est ma délivrance, je serai plein de confiance, et je ne craindrai rien ; car l'Eternel, l'Eternel est ma force et le sujet de mes louanges ; c'est lui qui m'a sauvé." (Esaïe 12:2).
           Par-dessus toutes choses je loue le Dieu Souverain, qui m'a sauvé par sa grâce, et qui m'a purifié et racheté par le sang précieux de Christ. Que sans cesse je puisse le servir, en exprimant ma gratitude, mon amour, et mon admiration sans bornes pour ce Seigneur Dieu tout-puissant.
           C'est avec joie et reconnaissance que j'annonce le message de l'Evangile. Le Seigneur Jésus-Christ est prêt à accueillir tout pécheur qui s'approche de lui. Lui seul est capable de vous réconcilier avec le Père. Il est là, et il accepte de vous accueillir. La révélation qu'il vous accorde par l'Ecriture sainte est celle de la vérité et de l'amour dans son Saint-Esprit. Parmi ceux d'entre nous qui avons passé de longues années dans une religion fabriquée par l'homme, beaucoup entendons retentir à nos oreilles ces paroles terribles qui sortent de sa bouche : "Ceux qui me disent Seigneur, Seigneur ! n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux." (Matthieu 7:21) Aucun de ceux qui se bornent à reconnaître l'autorité de Christ, à croire à sa divinité, à ses perfections et à sa rédemption, n'aura la moindre part dans le salut de Dieu s'ils s'en tiennent là. Seuls y entreront ceux qui auront fait la volonté du Père. Prenez garde, ne vous appuyez pas sur des rituels ; que votre foi soit en Christ à l'exclusion de tout autre. Des multitudes ont été trompées et ont péri pour l'éternité parce qu'elles se sont appuyées sur un mensonge. Le Seigneur Jésus a montré on ne peut plus clairement la volonté du Père quand il a déclaré : "L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé." (Jean 6:29).
En lui, en Christ Sauveur et Seigneur, George Kucera.

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LA CONVERSION D’UN PRÊTRE CATHOLIQUE ROMAINE A LA FOI BIBLIQUE

LA CONVERSION D’UN PRÊTRE CATHOLIQUE ROMAINE A LA FOI BIBLIQUE

    «En vérité, Je vous le dis : Si votre justice ne surpasse pas celle des Scribes et des Pharisiens, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux.» (Matt. 5:20)
JOSEPH ZACCHELLO, docteur en théologie.
PROLOGUE
    Chaque fois que j’aperçois un prêtre dans la rue, il m’est difficile, presque impossible, de réaliser qu’il y a peu de temps, j’étais moi-même prêtre et que, par conséquent, je devais croire et prêcher ce que l’église de Rome enseigne. Je sais exactement pourquoi j’ai quitté l’église catholique romaine, mais il y a tout de même 2 choses que je ne parviens pas encore à comprendre : d’abord, pourquoi j’y suis resté moi-même Si longtemps et, ensuite, pourquoi tant de prêtres restent dans le clergé, alors que plusieurs d’entre eux savent fort bien qu’ils prêchent un système religieux organisé ou inventé par les hommes au cours des siècles.
                                    COURTE BIOGRAPHIE
    Je suis né à Venise, dans le nord de l’Italie, le 22 mars, 1917. Dés l’âge de 10 ans, on m’envoya au séminaire de Piacenza où, après 12 années d’études, je fus ordonné prêtre, le 22 octobre, 1939.
Deux mois plus tard, mon supérieur, le cardinal
    R. Rossi, m’envoya aux États-Unis comme vicaire de la nouvelle église italienne de Chicago. Pendant 4 ans, j’exerçai mon ministère à Chicago et, plus tard, à New York. En ce temps-là, je ne me demandais guère Si mes sermons étaient conformes à la Sainte Bible. Mon seul désir était de plaire au pape et à mes supérieurs.
    1) - À LA RADIO
    DÉBUT DE MA PRISE DE CONSCIENCE
    CONTRADICTION ENTRE L’ENSEIGNEMENT DE ROME ET CELUI DE L’ÉVANGILE SUR LA QUESTION DU SALUT
    Ce fut un dimanche de février 1944 qu’en ouvrant mon radio, je tombai, par hasard, sur un programme religieux donné par un ministre protestant. J’étais sur le point de changer de programme, - (car l’église de Rome nous interdit d’écouter de tels programmes), - mais mon intérêt fut si grand que je ne pus m’empêcher de continuer à écouter.
    Toute ma théologie fut ébranlée par un texte biblique cité par le ministre protestant :
«Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille» (Actes des Apôtres, 16:31>. Voilà ce qu’enseignait saint Paul aux gens de son temps : le salut par la foi au Christ. De plus, il prêchait qu’on pouvait et même qu’on devait être sauvé ou justifié en ce monde, avant de partir pour le grand voyage. Car, après la mort, on ne peut plus changer son sort.
    A partir de ce moment-là, mon esprit fut rempli de doutes au sujet de l’enseignement catholique romain qui affirme qu’on est sauvé par le baptême. Il y en avait donc un des deux qui était dans l’erreur.
    2) - À L’AUTEL
      A - LE PURGATOIRE :
    Une pure invention des hommes et une source d’exploitation.
    D’autre part, bien des gens me donnaient de l’argent pour faire dire des messes pour le repos de l’âme de leurs chers disparus, car l’église de Rome enseigne qu’une messe est capable de soulager ou délivrer une âme du purgatoire.
    Or, un jour, comme je me trouvais à l’autel et que je regardais le grand crucifix placé au-dessus du tabernacle, il me sembla entendre le Christ lui-même me dire d’un ton de reproche :
‘Tu voles l’argent de ces pauvres gens et tu leur fais de fausses promesses. Tu leur dis qu’après la mort il y a un purgatoire. Eh bien, lis la parabole du riche et du pauvre, dans l’Evangile selon S. Lue, chapitre 16, versets 19 à 31, tu verras qu’après la mort il n’y a que 2 solutions : l’enfer ou le paradis, et qu’entre les deux il y a un abîme infranchissable, de sorte que personne ne peut passer d’un côté à l’autre. C’est pour cela que la Parole de Dieu dit :
    «Heureux, dès à présent, ceux qui meurent dans le Seigneur» (Apocalypse 14:13), car ils s’en vont avec Lui dans le paradis, comme le bon larron.
     B - La MESSE :
Une cérémonie païenne, inutile et vaine qui rend nul le Sacrifice du Calvaire
    «D’autre part, il est inutile d’essayer de répéter mon Sacrifice, car il a été accompli une fois pour toutes au Calvaire. Mon oeuvre de salut est complète et parfaite, et il n’y a rien qui puisse y être ajouté. D’ailleurs, mon serviteur l’apôtre Paul ne l’a-t-il pas clairement indiqué ? Il a écrit :
    ‘C’est en vertu de l’oblation ou de l’offrande que Jésus-Christ a faite une fois pour toutes de son propre corps que nous sommes sanctifiés’ (Héb. 10 : 10).
    ‘Puis, il ajoute que «là où les péchés sont remis, il n’est plus besoin d’offrande pour le péché’ (Héb. 10 : 18).
    Tu perds donc ton temps à vouloir répéter mon sacrifice en disant, tous les jours, ce que tu appelles la sainte messe qui est une pure invention humaine remontant officiellement au concile de Latran, en 1215".
    3) - EN CHAIRE
    A - LE VICAIRE du CHRIST sur la terre, c’est le SAINT ESPRIT, et non le Pape de ROME
Lorsque je prêchais que le pape est le vicaire du Christ et le successeur légitime de S. Pierre, il me semblait entendre cette même voix me dire :
    «Tu as vu le pape au Vatican avec son vaste et somptueux palais, ses gardes et tous ces gens qui lui baisent les pieds. Eh bien, depuis quand le serviteur est-il plus grand que son maître ? Moi, je suis venu sur la terre pour servir, et non pour être servi. J’ai lavé les pieds à mes disciples et je n’avais même pas un endroit où reposer ma tête. Crois-tu que je vais avoir pour représentant quelqu’un qui recherche les titres, la gloire des hommes, les richesses de ce monde, la domination des empires temporels ? Crois-tu que je vais avoir pour vicaire quelqu’un qui impose sa propre doctrine au monde, rendant ainsi nulle la Parole de Dieu par ses traditions, ses dogmes et ses décrets ?
    Le pape n’a fait que continuer la succession temporelle des Empereurs.
Mon VICAIRE sur la terre, c’est le Saint Esprit. Voilà celui que J’ai envoyé de la part du Père, le jour de la Pentecôte, sur tous les disciples réunis dans la chambre haute. Loi est capable de convaincre, d’éclairer, de justifier, de sanctifier et de guider dans toute la VÉRITÉ, et cela IL le fait d’une façon infaillible.»
      B - LA SAINTE BIBLE :
SEULE SOURCE DE RÉVÉLATION (pas besoin de catéchisme ou catéchèse)
    Quand j’enseignais que la Sainte Bible n’est pas un guide suffisant pour notre salut et qu’il fallait, de plus, y ajouter les traditions, les dogmes et les décrets de l’église de Rome, voilà que cette même voix me disait :
«Tu prêches des choses contraires à mon Evangile. Car Si la Parole de Dieu suffisait à Jésus, aux Apôtres et aux premiers chrétiens, pourquoi pas aujourd’hui encore ? En ce temps-là, on n’avait pas besoin d’aucune autorité humaine pour interpréter ou expliquer les Ecritures. La preuve, c’est que l’apôtre Jean disait aux chrétiens de son temps :
    «Vous n’avez pas besoin que personne vous enseigne...» (1 Jean, 2:27).
    D’autre part, Jésus a bel et bien condamné les traditions des hommes en disant :
«Vous laissez de côté le commandement de Dieu pour vous attacher à la tradition des hommes anéantissant ainsi la Parole de Dieu par la tradition que vous transmettez» (Marc, 7:8,13).
      C - UN SEUL MÉDIATEUR ENTRE DIEU ET LES HOMMES : LE CHRIST
Lorsque j’exhortais mes paroissiens à s’adresser à Marie et aux saints, au lieu d’aller directement à Jésus-Christ, j’entendais encore cette voix qui me disait :
    «Qui est mort pour toi au Calvaire ? Est-ce Marie ? Est-ce que ce sont les saints ? Ou bien est-ce Moi ? N’ai-je pas assez clairement prêché que personne ne vient au Père que par MOI ?»
      D - DIEU VEUT UN CULTE SPIRITUEL
(pas d’idolâtrie ni spéculation avec les choses de Dieu)
«D’autre part, toi et un bon nombre d’autres prêtres utilisez dans vos églises des cierges, des images, des reliques, des statues, des scapulaires, des chapelets et une foule d’autres idoles, auxquelles vous ne croyez presque pas vous-mêmes, mais que vous gardez et vénérez quand même, parce que c’est là une bonne source de revenus intéressants. Ne sais-tu pas que j’ai formellement dit que Dieu est Esprit et que ceux qui l’adorent doivent le faire en esprit et en vérité ? Détruis donc ces idoles au plus vite et enseigne aux fidèles à aller à Jésus-Christ seul, car c’est Lui la porte des brebis, et quiconque entre par Lui sera sauvé». (Jean, 10:9).
      4 - AU CONFESSIONNAL
LE PARDON DES PÉCHÉS VIENT DIRECTEMENT DE DIEU PAR JÉSUS CHRIST
(la confession auriculaire est une pure invention humaine)
Mais c’est au confessionnal surtout que mes doutes s’aggravaient, car les fidèles venaient me confesser leurs péchés, et, moi, par ma prétendue absolution, je leur laissais croire que j’avais le pouvoir de pardonner leurs fautes. Moi, un pécheur comme eux, j’osais prendre la place de Dieu. Mais, là encore, il me semblait entendre la voix du Seigneur me dire sur un ton sévère :
    «Tu es en train de jouer la comédie. Si les pécheurs désirent obtenir le pardon de leurs péchés, c’est à Dieu seul par Jésus-Christ qu’ils doivent aller, et non à toi. Car, comme ce sont les lois de Dieu qu’ils ont violées, aussi est-ce à Dieu seul qu’ils doivent confesser leurs péchés et en demander le pardon. Comment un pécheur peut-il pardonner un autre pécheur ?
    D’ailleurs, ne sais-tu pas que les Apôtres n’ont jamais entendu les confessions ? Au contraire, ils prêchaient aux âmes de s’adresser directement à Dieu par Jésus-Christ. Ainsi, l’apôtre Pierre a dit au magicien : «Repends-toi de ta malice et prie le Seigneur de te pardonner, s’il est possible, la pensée de ton coeur» (Actes, 8:22). Et l’apôtre Jean disait à ses chrétiens : «Si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le Juste.» (1 Jean 2 : 1). Maintenant, Si tu regardes dans ton Histoire de l’Eglise, tu verras que la confession auriculaire remonte officiellement au concile de Latran, en 1215.»
      5 - DÉCISION INÉVITABLE
    Je ne pouvais plus rester dans l’église de Rome, car il m’était impossible de continuer à servir deux maîtres à la fois : le pape et le Christ. Il m’était aussi impossible de continuer à croire à deux enseignements contradictoires : d’une part, aux dogmes et aux traditions des hommes et, d’autre part, à la Parole de Dieu. Il me fallait donc choisir. Par la grâce de Dieu, je décidai d’accepter Jésus-Christ et de suivre son Évangile.
    C’est un 1944 que je quittai l’église de Rome et, depuis lors, je prêche la Parole de Dieu aux catholiques romains, les exhortant à se repentir de leurs péchés et à croire en Jésus pour avoir la vie éternelle. Je donne mon témoignage à travers les Etats-Unis. Je vais parler dans les Universités et les églises. Je suis en contact avec beaucoup de membres du clergé catholique romain. J’en ai amené plusieurs à la connaissance de Jésus-Christ comme leur Sauveur personnel. Le Vatican m’a envoyé un de ses représentants pour me demander de revenir au système de Rome. Mais je ne suis pas pour laisser de côté la vérité pour retourner dans l’erreur et l’hérésie. Oui, l’église de Rome a raison de s’inquiéter du fait qu’il y en a beaucoup qui laissent son système pour passer à l’Evangile de Notre Seigneur Jésus-Christ. Faites de même et vous vivrez, car, comme l’a dit avec raison l’apôtre Pierre : «Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes.» (Actes, ch. 5 : 29)


Paul Blomme est un ancien Jésuite converti à Jésus-Christ. 

Né de nouveau !
Témoignage de Paul Blomme.
    Parole de vie Reproduction autorisée, pourvu qu’elle soit intégrale, et que les sources soient indiquées.
    Paul Blomme est un ancien Jésuite converti à Jésus-Christ. Il a vécu de 1919 à 2001. Nous avons déjà publié l'ouvrage qu'il a écrit sur la croix (L037).
Nous publions à présent le témoignage qu'il a écrit sur sa vie et sa conversion.
Qui arrivera à comprendre cela ?
    Aucun cerveau humain, aucune machine électronique, aussi sophistiquée soit-elle, ne pourra jamais en donner l’explication. L'apôtre Paul, dans son épître aux Corinthiens 2 : 29, dit : "Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment." L’apôtre Jean, dans son 3e chapitre, nous rapporte un entretien de Jésus avec un chef d’église du nom de Nicodème. Jésus lui dit : "En vérité, en vérité je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu." Nicodème, membre du sanhédrin, donc prêtre savant et haut placé dans le gouvernement religieux, malgré son haut niveau intellectuel, n’en comprenait absolument rien, à en juger par la réponse qu’il donna au Seigneur. Mais, de ce fait, Jésus aurait-il inventé et ordonné aussi solennellement quelque chose d’irréalisable ? Inexplicable, oui, mais non irréalisable. Incompréhensible pour toute chair humaine, mais accessible à tout homme acceptant la sagesse de Dieu. Comment le cerveau de l’homme, enfermé dans sa boîte crânienne, et pesant quelques centaines de grammes, peut-il pénétrer dans l’Esprit de Dieu qui créa tout l’univers ? Toutes les intelligences du monde réunies ne pourront jamais théoriser la nouvelle naissance. Selon le chapitre 11 de l’Evangile de Mathieu, au verset 25, "ces choses sont cachées aux sages et aux intelligents, mais révélées aux enfants", et l’apôtre Jean nous dit dans son premier chapitre que "tous ceux qui ont accepté la lumière sont devenus enfants de Dieu." Quelqu’un demanda au grand prédicateur du siècle dernier, Wesley, pourquoi il prêchait toujours sur la nouvelle naissance. Le saint homme répondit : "Parce qu'il vous faut naître de nouveau." Dieu a dressé un obstacle infranchissable et hermétiquement clos à tout raisonneur scientifique, fût-il le plus grand savant, fût-il mathématicien, académicien ou religieux. La nouvelle naissance est une expérience et non une science. C’est voulant "scientifier" la Parole de Dieu au jardin d’Eden, que toute l’humanité a été perdue. Si le mur de la nouvelle naissance, limitant implacablement le pouvoir de l’homme, en interdit l’accès aux grands de ce monde, il n’en est pas de même pour les humbles, à l’intention desquels Dieu a prévu une porte étroite. Mais le seuil de cette porte est seulement franchissable lorsqu’une autre porte, celle du monde, a été solidement verrouillée derrière soi. Une foule très nombreuse se trouve comme enracinée sur le seuil de la nouvelle naissance, s’agrippant désespérément à cette porte qui ne veut pas s’ouvrir. Ils ne peuvent franchir le seuil, étant trop chargés du fardeau de leur religion héréditaire, de la crainte de perdre leur renommée, de la crainte de leur avenir terrestre, de la crainte de décevoir leur monde ou leur église, de la crainte d’un échec quant à leurs ambitions. En un mot, ils ne veulent pas fermer la porte du monde derrière eux. Si, dans un grand immeuble tour, quelqu’un a laissé la porte de l'ascenseur ouverte, les autres usagers resteront sur le palier. Tel le jeune homme riche de l’évangile de Mathieu, au chapitre 19, retournant tristement vers ses biens, ainsi ces âmes restent dans une profonde tristesse mêlée d’envie, bloquées entre deux portes, regardant d’autres âmes qui, joyeusement avec des chants d’allégresse, entrent triomphalement par la porte étroite du Seigneur Jésus, le Christ, dans la vie éternelle, cessant d’être une promesse, étant devenu un glorieux accomplissement, car tout est accompli. Par une grâce spéciale de la part du Seigneur, et malgré mes multiples révoltes et rejets de Son amour, par Sa sainte patience incommensurable, le Seigneur a malgré tout voulu que je sois né de nouveau. Oui, je suis … NE DE NOUVEAU. De très longues années de discipline sévère dans la religion firent de moi un athée du dernier ressort. Les règles strictes de l’ordre des Jésuites me furent imposées à très forte dose du matin au soir et même pendant la nuit, et ceci dès mon enfance. Il est vrai que je vivais intensément les rites, les processions et les cérémonies, et je récitais de longues prières des heures durant. Ce furent alors ma seule consolation et ma seule espérance dans ce monde. Cette vie eut été humainement acceptable s’il n’y eut d’autres pratiques allant à l’encontre et, finalement, dans le sens opposé de mes espérances. Acceptable également, si l’attitude générale eut été compatible avec l’enseignement. Hélas, celui-ci laissait beaucoup à désirer ! Dans l’ordre des choses de cette étrange vie entraient paradoxalement les pratiques normales, des coups, des flagellations, des humiliations et l'homosexualité. Si ces abominations sautent aux yeux de quiconque et heurtent, il n’en va pas de même lorsqu’elles sont greffées dès la prime jeunesse. Là, elles ne se révèlent que très vaguement et par petit peu à la fois. Voilà en quoi, dans cette éducation, se révéla en fin de compte, dans mon esprit, le Nom de Dieu qui se réduisait à cette expression : "Le Bon Dieu" ! Jésus-Christ, un Nom usé représenté par un crucifix pendant au bout du chapelet, et tous les saints, qui selon cet enseignement, étaient tous passés par les mêmes tribulations et qui, en couronnement, furent canonisés et glorifiés par le chef suprême terrestre de la chrétienté, Sa Sainteté le Pape. Avec le recul, je me rends compte que j’étais dans un curieux état car, en regard, je n’ignorais pas l’Evangile, bien loin de là. Plusieurs fois par jour, j’en récitais de longs passages ainsi que des psaumes en latin. Le jour où le Seigneur me libéra de tout cela, je ne Lui en manifestai aucune gratitude. C’était paradoxal ! Parce qu’au fond de moi-même, j’en avais une indubitable connaissance ; mais j’en étais saturé au point de ne plus en vouloir. Je me sentais très fort, m’étant affranchi de tous les liens de cet esclavage. Je n’avais d’égard pour rien ni personne, à l’exception de ce qui était "MOI." Il n’était plus du tout question qu’on me parle de religion ni du "Bon Dieu." Pour moi, tout cela était bien fini, raturé. J’étais convaincu d’en savoir plus que quiconque. Un jour, un ami ouvrier, qui depuis est devenu pasteur, et pour moi un ami fidèle, voulut m’offrir un Nouveau Testament. Je lui refusai dédaigneusement. Ce n’était pas à moi qu’il fallait faire une telle offre. J’en étais excédé. En avais-je récité des chapitres entiers en latin et par cœur ! Mais ce gentil camarade, persévérant, insista, me démontrant tout l’intérêt des annotations complémentaires dans cette édition, et je finis par consentir à accepter. Il s’était rendu compte de ce qu’en fait, j’ignorais la profondeur de ce que, à l’égal d’un perroquet docile, j’avais récité, parce que c’était la règle imposée. Grâce à sa sollicitude, la lecture de cet ouvrage me fit bien découvrir ce qui était faux dans la religion, ses multiples erreurs, sans cependant pouvoir déceler le vrai. Dès lors, il n’y avait rien à changer dans ma conduite, et mon dédain pour la religion s’en trouva d’autant plus affermi. Je ne puis dire que le Nouveau Testament traduit par Louis Segond, avec annotations de F. Faivre, que m’offrit l’ouvrier Marcel Robin, actuellement pasteur, m’apporta beaucoup de clarté. Je me limitai à en étudier les notations concernant les erreurs démagogiques religieuses, mais rien de plus. Il me sembla inutile d’étudier ou de lire les Evangiles que déjà je connaissais et qui, à l’exception des remarques aux bas des pages, me semblèrent êtres identiquement les mêmes. Dieu, Jésus-Christ, christianisme, politique, religion, le monde, les gens, les erreurs, tout cela se rencontrait dans le même kaléidoscope. Ce n’est que l’évènement du 1er juillet 1959 qui en fit crever le cylindre. C’était tellement dépourvu de tout sens pour moi, et c’est pourquoi je fuyais le monde et m’enfermais dans ma tour d’ivoire, solidement entouré de la muraille imprenable de mon incrédulité, bannissant toutes les lois. Bien des années plus tard, j’arrivai à comprendre les erreurs de la religion et à les comparer avec les erreurs humaines dont je faisais les frais. Libéré en 1945, ceci contre toute espérance, du bagne nazi de Butzbach par la 9e armée américaine, malade de dénutrition, je fus brutalement jeté en prison en rentrant au pays, étant soupçonné d’incivisme. Selon le registre de la population, mon cadavre fut, paraît-il, trouvé criblé de balles à l’arsenal de Toulon en août 1942, lors de l’occupation de la France pétainiste. Dès lors, tout me sembla être désespérément vain et poursuite du vent, dont faisaient parties les impérieuses TRADITIONS. Oh non, je n’en veux pas du tout à mes maîtres éducateurs et professeurs, qui ont fait de leur mieux pour m’enseigner leur ignorance.


CENT QUESTIONS aux catholiques de bonne volonté par Stefano TESTA et Lorenzo PALMIER

    CENT QUESTIONS aux catholiques de bonne volonté par Stefano TESTA et Lorenzo PALMIER !
Traduit et adapté de l'italien par Jacques Lemaire. ASSEMBLÉE CHRÉTIENNE
Les Cent questions s'appuient sur un traité original intitulé Les doctrines catholiques à l'épreuve, écrit par le pasteur Lorenzo Paimieri, un ancien prêtre catholique d'Avellino. En présentant sa brochure au public, le pasteur Palmieri se déclarait prêt à réintégrer l'Église romaine, si quelqu'un pouvait faire la preuve de la fausseté de ses observations.
    Une telle preuve n'a jamais été fournie. Cette brochure, qui a été augmentée par le pasteur Stefano Testa, a connu vingt-deux éditions en anglais et dix-huit en italien.
Les questions 36, 46, 88 et 98 ont été adaptées par le traducteur pour tenir compte des réformes introduites dans le catholicisme romain depuis quelques années. Notre gratitude va à Sergio Covolan qui a revu ce travail et dont les suggestions ont été précieuses.
                                       
                                     LES CENT QUESTIONS
L'ÉGLISE
                                  Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      1. Que Jésus-Christ a fondé l'Église catholique romaine au lieu de son Église ? (Matt 16: 18)
      2. Que les doctrines et les pratiques de 1'Église romaine d'aujourd'hui sont les mêmes que celles de l'Église primitive ? (Galates 1 : 8-9) : « Mais quand nous-mêmes, ou un ange du ciel vous annoncerait un évangile différent de celui que nous vous avons annoncé, qu'il soit anathème ! Comme nous l'avons déjà dit, je le dis encore maintenant : si quelqu'un vous annonce un évangile différent de celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème. »).
      3. Que l'Église de Rome est la même que celle qui a été fondée par Jésus-Christ, c'est-à-dire :
- Sainte ou seulement préoccupée de servir Dieu en vue du rachat spirituel de l'humanité ?
- Catholique ou universelle dans le sens que ses doctrines et ses pratiques ont toujours été professées par tous les chrétiens depuis les premiers siècles jusqu'à maintenant ?
- Apostolique, c'est-à-dire qu'elle est restée fidèle à la foi, à la doctrine et aux pratiques des apôtres, telles qu'elles résultent du Nouveau Testament, si bien que l'on puisse dire : l'Évangile, tout l'Évangile, rien que l'Évangile ?
      4. Que les non convertis peuvent être membres de l'Église du Christ? (Galates 5: 19-21; Éphésiens 5 : 5 Apocalypse 22 : 15)
      5. Qu'il est impossible d'être sauvé hors de l'Église de Rome ? (Lire Actes 4 : 10-12)
                                            NOTE SUR L'ÉGLISE
Jésus-Christ a fondé son Église ou Assemblée sur la vérité énoncée par Pierre: Jésus est « le Christ le fils de Dieu vivant » (Matthieu 16: 16-18).
Jésus est son guide et la Bible sa seule norme de foi et de pratique. L'Église chrétienne est composée des disciples de Jésus qui sont nés à une vie nouvelle et engagés dans la continuation de son oeuvre de rachat dans le monde.
Elle est catholique, c'est-à-dire universelle, parce qu'elle tend à rassembler dans une seule famille de Dieu toutes les personnes vraiment converties à Jésus-Christ. L'église est restée pure et fidèle à l'Évangile durant environ 300 ans.
Ce fut l'époque des martyrs de la foi du fait des persécutions de la Rome païenne. Avec la conversion de l'empereur Constantin, le christianisme devint religion d'État (en 313) et une foule de païens fut ajoutée à 1'Église par le seul baptême d'eau sans réelle conversion du coeur.
Ces païens apportèrent dans l'Église leurs cérémonies, leurs coutumes et leurs rites païens auxquels on donna le nom de chrétiens, si bien que l'Assemblée chrétienne fut romanisée et paganisée.
La véritable foi chrétienne se trouve dans la totalité de l'Évangile et dans la doctrine des apôtres, tandis que l'Église de Rome y a ajouté le « papisme » et beaucoup d'autres doctrines et de pratiques païennes qui font qu'elle n'a plus le droit de s'appeler chrétienne et catholique.
Les Réformateurs ont vu qu'elle était devenue la Babylone biblique ou
l'Église apostâtes - clairement annoncée dans les Écritures - et qu'elle
sera châtiée et détruite à la seconde venue de Christ.
(2Thessaloniciens 2 : 3- 12; 1 Timothée 4: 1-4; Apocalypse 17 : 18).
La Réforme du XVIe siècle fut l'une des protestations contre ces doctrines païennes.
Elle a produit une séparation de l'Église officielle de millions de personnes qui sont retournées au christianisme pur du Nouveau Testament.
L'Église romaine devrait également se réformer et redevenir vraiment chrétienne, en renonçant au papisme et à tous les dogmes et les rites qui sont contraires à la parole de Dieu.
Autrement l'Église de Rome doit renoncer au titre de chrétienne et catholique et s'appeler simplement romaine. Le titre de catholique convient plutôt à l'Église ou Assemblée qui reste fidèle à l'Évangile du Christ et à la doctrine des apôtres sans rien y ajouter (1 Corinthiens 4 : 6 - NDT).
La véritable Église du Christ est composée des personnes vraiment converties à Jésus-Christ qui se trouvent dans toutes les églises et dont les noms sont inscrits dans le ciel. Les églises visibles ne sont que les écoles qui enseignent et préparent les chrétiens pour le royaume du Christ (Luc 10: 20: Apocalypse 21:27).
L'APÔTRE PIERRE
      6. Que Pierre a été le premier pape ?
      7. Qu'il a été pape de Rome pendant 25 ans ?
      8. Qu'il a été le Prince des Apôtres et le chef visible de l'Église
du Christ ?
      9. Qu'il a reçu du Seigneur le suprême Pontificat, c'est-à-dire la
primauté de juridiction sur toute l'Église chrétienne ?
(Matthieu 20 : 26-28; 1 Pierre 5 :1)
      10. Que ces prérogatives ont été transmises par Pierre aux
évêques de Rome qui sont ses successeurs jusqu'à nos jours ?
      11. Que Pierre a réclamé ou reçu des dons pour s'accumuler un
trésor d'argent et d'or que l'on nomme « Trésor de Saint-
Pierre » ? (Actes 3 : 6 et 8: 20)
      12. Que Pierre a accepté des honneurs mondains, comme de se
laisser porter sur les épaules des hommes sur la sedia
gestatoria, de se faire baiser les pieds ou la bague et autres
honneurs en usage chez les païens de son temps ?
(Actes 10: 25-26)
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
NOTE SUR L'APÔTRE PIERRE.
Pierre n'a jamais été pape. Pas plus qu'il n'a été catholique romain, parce qu'en son temps, le catholicisme romain n'existait pas.
Avant de se convertir, il était pêcheur et marié. Son frère André l'a présenté à Jésus et il est devenu son disciple puis son apôtre.
Il a confessé que Jésus « est le Christ, le fils du Dieu vivant », et Jésus a fait de cette déclaration le fondement de son Église. Il était un homme impulsif mais toujours sincère. Ensuite, il a renié le maître trois fois, mais il s'en est repenti aussitôt et il a pleuré amèrement (Matthieu 4: 18-20; 16: 18-23; 26 : 69-75; Marc 1: 29-31).
Le jour de la Pentecôte à Jérusalem, trois milles personnes se sont converties à sa prédication. Il a continué ensuite à être un simple prédicateur missionnaire. Il n'a jamais été le chef de l'Église, il n'a jamais prétendu à une telle charge, il n'a jamais été reconnu comme chef par les autres apôtres. Il a protesté contre les prêtres juifs qui voulaient l'empêcher de prêcher et il a continué d'annoncer l'Évangile sans peur parmi les Juifs, en affirmant sans cesse que Jésus-Christ est le chef et le fondement de l'Église et qu'il n'y a aucun autre nom par lequel nous pouvons être sauvés. Il a recommandé à tous de lire les Saintes Écritures (Actes 4: 12; 1 Pierre 1: 23; 2 :2; 2 Pierre 1: 9 ;21).
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      13. Que le mot pape se trouve dans les Écritures ?
      14. Que le pape est le successeur du Prince des Apôtres, le Souverain Pontife de l'Église universelle ?
      15. Que le pape est effectivement le remplaçant de Dieu sur la Terre et le Vicaire de Jésus-Christ ?
      16. Que le pape est infaillible quand il parle excathedra ? (Romain 3 : 5; 10-23)
      17. Que le pape doit être appelé Saint Père ? (Matt 23 :9 ; Jean 17: 11)
      18. Que le pape peut canoniser des saints, c'est-à-dire déclarer saintes certaines personnes pour qu'on les vénère et les prie ?
(2 Corinthiens 1: 1; Philippiens 1: 1; Colossiens 1: 2)
                                                          LE PAPE
      19. Que le pape doit avoir un règne temporel et être le souverain de l'État de la Cité du Vatican avec des soldats et des gendarmes armés et prétendre à une domination politique sur toutes les nations de la terre ? ( Jean 18: 36 )
      20. Que le pape peut excommunier des églises et des personnes, relever de leur obéissance aux autorités civiles des peuples entiers et que les rois, les empereurs et les présidents des républiques doivent lui être soumis ?
      21. Que le pape peut compromettre l'unité, la liberté et l'indépendance des nations, spécialement de l'Italie ?
      22. Que le pape peut donner ou vendre des indulgences partielles ou plénières et donner l'absolution à ceux qui en paient le prix ? (Marc. 2: 5-11)
      23. Que le pape peut proclamer l'Année sainte tous les vingt-cinq ans et promettre des indulgences spéciales et le pardon des péchés à ceux qui vont le visiter à Rome ? (Isaïe 1: 12-18)
                                                     NOTE SUR LE PAPE
Le mot « pape » ne se trouve pas dans la Bible. Le titre de « pape », c'est-à-dire évêque universel, a été refusé par de nombreux évêques des premiers siècles de l'Église.
Il a été attribué à l'évêque de Rome par l'empereur impie Phocas en 607 pour des raisons politiques. Toutes les prétentions de la papauté sont des blasphèmes selon la lettre et l'esprit du Nouveau Testament.
(2 Thessaloniciens 2 : 3 : 12; Apocalypse 13 : 1-18 ).
                                                     LES PRÊTRES
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      24. Que Jésus, en plus des apôtres qui devaient prêcher l'Évangile, a institué une hiérarchie sacerdotale ou une caste spéciale et privilégiée séparée du peuple ? (Matthieu 10: 1-8; 23 : 8)
      25. Que les apôtres ont institué d'autres ministères (ou ordres) que ceux d'anciens ou surveillants d'autres ministères que pasteur, évangéliste, prophète et enseignant ? (1 Timothée 3 : 1-8; 5 : 17; Éphésiens 4: 11)
      26. Que les anciens et les ministres de l'Évangile ne peuvent pas se marier et qu'un prêtre sans épouse ni enfant doit être appelé père ?
(1 Timothée 3 : 2, 4 et 12; 4 3; Matthieu 23 : 9)
      27. Que le prêtre est une personne très puissante ? « Plus puissante que les saints et les anges, plus que les séraphins et les chérubins, plus que la vierge Marie. - le prêtre parle et voici le Christ, le Dieu éternel et tout-puissant, baisse la tête dans une humble obéissance au commandement du prêtre » - Extrait de « II Sacerdozio istituzione divina » de J.A O'Brien, docteur et philosophie, avec imprimé de l'évêque Noll de Fort Wayne, indianan, U.S.A. p. 17 et 18). (2 Thessaloniciens 2; 4; Romains 1:21-22)
      28. Que les évêques et les prêtres doivent dire la messe, confesser les gens et donner l'absolution des péchés ? (Psaume 51: 1; 31: 5)
      29. Que Jésus a institué les titres de cardinal, monseigneur, chanoine, etc. ?
      30. Que Jésus-Christ et ses apôtres ont conseillé aux chrétiens de se retirer du monde pour devenir moines ou moniales (monastique) ? (Luc 10 : l-12; Matthieu 5 : 13-16; Jean 17: 15)
                                                  NOTE SUR LES PRÊTRES.
Évêque ou surveillant, presbytérien ou ancien, sont des synonymes dans le Nouveau Testament.
Les ministres de Dieu sont des prédicateurs de l'Évangile et des serviteurs du peuple, et non des prêtres et des sacrificateurs à l'autel.
Les Juifs et les païens avaient des prêtres : ce furent justement eux qui complotèrent la mort de Christ.
Jésus n'a pas ordonné des prêtres pour son Église parce que les Écritures déclarent qu'il est le seul Souverain prêtre qui vit à jamais, dont le sacerdoce est
intransmissible à un autre et dont le sacrifice à la croix n'a pas besoin d'être renouvelé (Hébreux 7 21-25; 10: 11-18 ).
Paul, en outre, ordonne que les évêques ou surveillants, les anciens et les serviteurs de Dieu soient maris d'une seule femme et qu'ils dirigent bien leur propre maison afin de pouvoir prendre soin de l'Église de Dieu
(1 Timothée 3 : l-13; Actes 20: 17-36; Tite 1: 5-6).
NOTE SUR LA CONFESSION
La confession des péchés pour obtenir le pardon est
recommandé dans toute la Bible : à Dieu quand il a été offensé (Psaume 32 : 5; Matthieu 6: 12; Luc 18: 13); aux hommes quand ils ont été offensés (Matt 6: 14-15; Luc 17 : 3-4;Jacques 5 : 16) ; jamais à une tierce personne !
Judas Iscariote est la seule exception : il est allé se confesser aux prêtres et il s'est pendu (Matt 27: 1-5).
Tous les vrais chrétiens confessent leurs péchés à Dieu dès qu'ils les ont commis et non « une fois l'an ».
La confession au pasteur peut aussi être pratiquée
pour obtenir consolation et conseil, jamais pour être pardonné, car un seul Dieu pardonne les péchés. (Psaume 51: Matthieu 11:28; Marc 2 :5-11; 1 Jean 1:8-9).
LA MESSE
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      31. Que Jésus-Christ a institué la messe plutôt que le simple repas du Seigneur des évangéliques ?
      32. Que Jésus et les apôtres disaient la messe ?
      33. Que la messe est un sacrifice et le renouvellement quotidien du sacrifice de Jésus sur la croix ? (Hébreux 9 : 25-28; 10: 10-18)
      34. Que la messe est identique au repas du Seigneur ? (1 Corinthiens 11: 23-29)
      35. Que ne pas aller à la messe tous les dimanches et les jours d'obligation est un péché mortel ?
      36. Que la messe peut être dite en l'honneur des saints ?
      37. Que la messe peut être dite contre de l'argent selon un tarif établi ? (Matthieu 10 : 8)
      38. Que la messe peut être dite en faveur des vivants qui la paient afin d'obtenir des faveurs divines, le pardon des péchés et le paradis après la mort ?
      39. Que la messe peut apporter repos ou suffrage aux âmes des morts qui sont supposés souffrir dans les flammes du purgatoire ?
(Luc 23: 43)
                                                    NOTE SUR LA MESSE
Il existe de sérieuses objections à la doctrine de la messe telle qu'elle a été définie par le concile de Constance (1414) et le concile de Trente (1546).
Le culte dans l'Église primitive consistait en prières, louanges, lecture des Écritures, explication de l'Évangile et célébration du repas du Seigneur.
La prétention que la messe est le Renouvellement du sacrifice du Christ sur le calvaire, par lequel celui-ci descend du ciel dans l'hostie, est crucifié à nouveau et se laisse manger vivant chaque jour, répugne au sens commun et contredit l'enseignement de la Bible. Le seul mystère est lesuivant: que certaines personnes croient encore tout cela !
L'HOSTIE
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      40. Que Jésus a institué son repas avec une hostie et non avec le pain et du vin ? (Matthieu 26: 26-28)
      41. Que l'hostie devient dans les mains du prêtre le corps, le sang, l'âme et la divinité de Jésus-Christ ? (1 Corinthiens li: 26)
      42. Que le Christ vivant se trouve tout entier dans l'hostie, qu'il peut être mangé, enfermé dans le tabernacle et transporté là où le prêtre le décide ?
      43. Que l'hostie consacrée, même si elle se divise en mille morceaux, contient dans chacune de ses parcelles Jésus-Christ tout entier ?
      44. Que dans l'administration de la communion aux fidèles, seul l'hostie doit être distribuée, et non le pain et le vin comme le faisaient Jésus et les apôtres ? (1 Corinthiens 11:23-29)
      45. Que seul le prêtre doit communier à l'hostie et au vin, et que le peuple doit se contenter de l'hostie sauf en quelques occasions ? (Matthieu 26: 27)
      46. Qu'il faut jeûner une heure avant la communion ?
(Matthieu 26 : 20-28; 1 Corinthiens 11: 20-34)
                                 NOTE SUR L'HOSTIE ET LA COMMUNION
L'institution du repas du Seigneur ne pouvait pas être plus simple et plus claire (1 Corinthiens 11: 23-29). Jésus s'est servi du pain et du vin qui sont la communion à son corps et à son sang
(1 Corinthiens 10: 16).
Chaque communiant doit recevoir les deux espèces en souvenir de la passion et de la mort du Christ. Pendant des siècles la communion fut distribuée sous les deux espèces, même dans l'Église romaine; c'est encore ainsi que pratique l'Église orthodoxe grecque.
L'Église romaine est donc gravement coupable de sacrilège et d'avoir mutilé et déformé le repas du Seigneur, d'avoir retiré la coupe au peuple depuis 1415, mais davantage encore de croire que Jésus ait à sacrifier son corps de nouveau pour absoudre nos péchés !
MARIE
Pouvez -vous prouvé avec la Bible :
      47. Que Marie a été conçue sans péché ? (Romains 3 : 10-23; Luc 1: 46-47) Qu'elle a fait voeu de virginité et qu'elle n'a pas eu d'enfants après Jésus ? (Matthieu 1: 25; 13 : 55-56 - NDT)
      48. Que le nom de sa mère était Anne et qu'Anne est la protectrice des femmes qui accouchent ?
      49. Que Marie doit être appelé la mère de Dieu ?
      50. Que Marie est la porte du ciel, la dispensatrice de la grâce, l'étoile du matin, la rédemptrice et tous les titres que lui donnent les litanies ? (Isaïe 43 : 11; Jean 10 : 90 )
      51. Que Marie a déclamé ou accepté des titres divins, ou qu'elle s'en est attribuée d'autres que « heureuse, bénie et servante du Seigneur ». (Luc 1: 38- 48) 52. Que Marie a promis au peuple de prier pour lui ou d'être la protectrice de quelque individu ou nation ? 53. Que Marie a demandé ou obtenu de Dieu une grâce ou une faveur pour un des ses dévots ?
      54. Que Marie a demandé à qui que ce soit d'être son dévot, de la prier, de l'adorer et de construire des églises et des chapelles en son honneur ? (Luc 11:27-28 ) 55. Que Marie n'a pas déclaré au contraire au sujet de Jésus : « Faites tout ce qu'il vous dira », comme le disent les chrétiens évangéliques aujourd'hui ? (Jean 2:5 ) 56. Que Marie était catholique romaine ? 57. Que Marie n'était pas prête à délaisser la foi de son peuple pour suivre la révélation plus complète de la vérité de Dieu manifestée en Jésus-Christ ? (Luc 1: 38; Actes 1: 14 ) 58. Que Marie est montée au ciel avec son corps et son âme ? (Jean 3 : 13) 59. Que Marie peut écouter du ciel les prières de ceux qui l'invoquent de la Terre ? 60. Que le culte *d'hyperdulie est dû à Marie ? (Matthieu 4: 10 ) * hyperdulie: Culte rendu à la Vierge (par opp. Au culte de dulie, rendu aux saints). 61. Que Marie doit être honorée de tant de titres et vocables différents: cinquante-sept noms différents dans la seule Italie du Sud, à tel point que l'on a l'impression qu'il y a autant de madones qui se font concurrence entre elles ? 62. Que l'on peut faire des images de Marie et que des églises et des sanctuaires peuvent lui être dédiés ? (Exode 20 : 4; Lévitique 26: 1; Deutéronome 27 : 15 )
                                                    NOTE SUR MARIE
De toutes les femmes de la Bible, Marie est la plus privilégiée et
tous les chrétiens évangéliques la respectent et l'honorent. Son
exemple devrait être suivi par tous les catholiques romains qui
veulent être sauvés comme elle l'a été.
Voici comment Marie a été sauvée :
   a) Elle lisait et connaissait les Écritures; b) Elle croyait à la parole de Dieu et elle a reçu le message que l'ange Gabriel lui a apporté; c) Elle s'est convertie au Christ et a laissé la religion dans laquelle elle était née et avait grandi; d) Elle a fait un long voyage pour visiter Élisabeth qui avait la même expérience religieuse qu'elle; e) Elle a rendu son témoignage pour remercier Dieu qui l'avait sauvée dans son hymne magnifique (Luc 1: 46 : 55); f) Enfin, elle a donné un excellent conseil à tous « Faites tout ce que Jésus vous dira » (Jean 2: 5). Après la mort de Jésus, elle a pris part à la réunion de prière avec les disciples, avec eux elle a reçu le Saint-Esprit à la Pentecôte et elle a participé à la réunion en plein air où 3000 personnes se sont converties et ont été baptisées en un seul jour. Jean a pris soin d'elle pour le reste de sa vie. Marie a vécu et elle est morte comme une chrétienne exemplaire. Les prières et les fêtes en son honneur constituent une insulte à sa mémoire et elle serait la première à protester.
LES SAINTS
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      64. Que les saints sont seulement ceux qui sont dans le ciel et qui ont été reconnus et canonisés par le pape, et que les véritables croyants dans le Christ sur la Terre ne sont pas également des saints ? (2 Corinthiens 1:1; Philippiens 1: 1; Colossiens 1: 2)
      65. Que les saints qui sont dans le ciel peuvent entendre la voix de ceux qui les prient de la Terre ?
      66. Que les saints du ciel sont des avocats et des médiateurs entre Dieu et les hommes ? (I Timothée 2 :5; 1 Jean 2 : 1)
      67. Que le culte de dulie (culte d'honneur rendu aux anges et aux saints, par opposition au culte d'adoration dit de latrie, rendu à Dieu seul) doit être rendu aux saints et aux anges et que des fêtes doivent être célébrées en leur honneur ? (Apocalypse 19: 10)
     68. Que l'on peut faire des statues des saints et de la vierge pour se souvenir d'eux ? (Isaïe 44: 9- 20; Psaume 115 :2-9)
      69. Que les os des morts et autres reliques sont investis d'un pouvoir miraculeux et qu'ils doivent être exposés à la vénération publique, embrassés et portés en procession ?
      70. Qu'un saint véritable, quand il était sur la Terre, a réclamé au peuple d'être vénéré, adoré et prié; ou bien qu'un saint mentionné dans le Nouveau Testament a prié d'autres saints que Jésus-Christ seul ?
      71. Que Pierre et Paul n'ont pas refusé expressément des honneurs semblables et qu'ils ne les ont pas interdits énergiquement ? (Actes 10 : 25-26; 13 : 11-18)
      72. Que les apôtres, les évangélistes et les premiers martyrs étaient catholiques romains ?
      73. Que quasiment tous les saints de l'antiquité n'étaient pas des convertis qui avaient quitté leur religion ?
(Matthieu 4: 17-22; Jean 3 : 22; Actes 4: 17-19; 9: l-29)
                                                   NOTE SUR LES SAINTS.
Dans le Nouveau Testament, tous ceux qui croient dans le Christ sur la Terre sont appelés saints, même s'ils ne sont pas encore parfaits.
Ils deviennent saints par la conversion à Jésus- Christ et en lui obéissant. C'est Dieu qui les rend saints et leurs noms sont inscrits dans le ciel. Ils n'ont pas besoin d'être reconnus et canonisés par le pape. Les véritables saints n'ont jamais attiré les gens à eux, mais tous les dirigent vers Jésus-Christ, le Sauveur du monde.
Les catholiques romains croient les honorer en
leurs faisant des têtes qui sont païennes et idolâtres, mais qui au contraire les offensent. Les saints sont les premiers à protester et à refuser une telle idolâtrie. Il faut suivre leur exemple, plutôt que de les prier et de faire des fêtes en leur honneur.
LE PURGATOIRE
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      76. Qu'il y a un purgatoire comme lieu intermédiaire entre le paradis et l'enfer ? (Matthieu 25 : 46)
      77. Que le feu du purgatoire est aussi brûlant que celui de l'enfer ?
      78. Que même les meilleurs catholiques romains ne peuvent pas aller dans le paradis après la mort, mais qu'ils doivent brûler pendant des milliers d'années dans le purgatoire pour être purifiés de leurs péchés ? (Luc 23 : 43; Jean 14 : 3; 1 Jean 7-9)
      79. Que les âmes du purgatoire peuvent être rafraîchies et leurs sentences abrégées par les funérailles, les suffrages, les Miserere et De Profundis, les indulgences et spécialement par les messes que les prêtres disent contre de l'argent pour leur soulagement ? (Psaume 49 : 6-9)
      80. Que les chrétiens, pendant leur vie, peuvent accumuler des indulgences pour obtenir une libération plus rapide des peines du purgatoire et que, s'ils n'en ont pas suffisamment, leurs parents peuvent faire dire des messes pour leurs âmes ?
      81. Que les âmes du purgatoire, alors qu'elles brûlent dans le feu, peuvent écouter et exaucer les prières de leurs amis restés sur la Terre ?
      82. Que les âmes du purgatoire peuvent prier Dieu et obtenir des faveurs pour les autres, mais pas pour elles-mêmes?
      83. Que la vierge Marie visite les âmes du purgatoire chaque samedi ? (Luc 16 : 26)
                                            NOTE SUR LE PURGATOIRE
Le purgatoire est une pure invention de la hiérarchie romaine. On en trouve nulle part l'idée dans le Nouveau Testament. Cette doctrine contredit les paroles du Christ qui déclare que ceux qui croient en lui vont directement au paradis à leur mort ( Luc 23 : 43; Jean 14: 3 ). Elle constitue aussi une insulte à l'efficacité du sang du Christ qui purifie de tout péché (1 Jean 1 : 7 ).
C'est le sang de Jésus qui est le véritable purgatoire de l'Évangile, et non le purgatoire du feu, Dieu serait injuste s'il abrégeait seulement la souffrance de ceux qui auraient laissé assez d'argent pour faire dire des messes pour le salut de leur âme. Les prêtres seraient eux-mêmes cruels de laisser leurs fidèles brûler pendant des milliers d'années dans le purgatoire, alors qu'ils auraient le pouvoir de les en délivrer par une messe qu'ils se refusent à dire si on ne les paie pas.
Avec cette doctrine, le pauvre catholique n'a aucun réconfort devant la mort parce qu'il ne voit d'autre avenir qu'une vision de feu, de flammes et de souffrance. Comme l'attitude des chrétiens évangéliques est différente devant la mort! Ils voient le ciel ouvert comme Étienne ( Actes7 : 55-60 ) et ils sont heureux d'aller immédiatement avec le Christ (Romains 8: 1; Philippins 1: 2 ; 1-23 ).
LES BONNES OEUVRES
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      84. Que le salut peut être gagné en faisant des oeuvres méritoires ou surérogatoires; qu'il peut être obtenu par la médiation des prêtres; ou par les sacrements ou par l'intercession de Marie et des saints ? (Galates 2: 16; Éphésiens 2 : 8-10)
      85. Que les oeuvres méritoires sont celles que l'Église romaine prescrit comme l'assistance à la messe, les honoraires des messes, la récitation des prières, le rosaire, les litanies, les neuvaines, les jeûnes, l'abstinence de viande, les pèlerinages à des sanctuaires lointains, etc. (Isaïe 12 : 18)
      86. Qu'une personne peut faire des oeuvres surérogatoires, c'est-à-dire en plus du nombre nécessaire pour le salut de son âme ?
      87. Que ces mérites ou oeuvres surérogatoires vont s'ajouter au trésor des mérites de l'Église catholique romaine, pour être distribués par le pape sous forme d'indulgences à ceux qui n'en ont pas assez gagné pour leur propre salut ?
      88. Qu'il faut s'abstenir de viande les vendredis de carême et les mercredis et vendredis saints sous peine de péché ? (Matthieu 15 :11; 1 Corinthiens 10 : 25; 1 Timothée 4 : l-5)
      89. Que les prêtres peuvent permettre de manger de la viande tous les jours ou de contracter mariage avec un parent ? (Actes 8 20)
      90. Que faire le signe de croix est un moyen de grâce et qu'il sert à éloigner le diable ? (Matthieu 4 :10-11)
      91. Que porter des scapulaires ou des médailles bénies peut protéger quelqu'un du malheur ?
Nous sommes sauvés par la grâce de Dieu au moyen de la foi en Jésus-Christ, non par les bonnes oeuvres que nous avons faites ou pouvons faire, « Afin que personne ne se glorifie », dit la Parole de Dieu (Éphésiens 2 : 8-9).
Les bonnes oeuvres sont le résultat ou la conséquence de la foi et la preuve de la conversion. Elles ne sont jamais méritoires ni surérogatoires (c'est-à-dire qu'on puisse faire quelque chose de trop et que Dieu puisse se trouver en reste avec nous).
Les seuls mérites que Dieu reconnaît sont les mérites infinis de Jésus-Christ. Nos bonnes oeuvres ne peuvent pas nous mériter le salut, parce qu'elles ne sont qu'un « vêtement souillé » devant Dieu (Isaïe 64 : 6). Tous ceux qui cherchent le salut par leurs bonnes oeuvres, même celles que recommande la Bible, sont exclus de la grâce de Dieu et n'ont plus part au salut accompli par le Christ sur la croix (Galates 2: 16; 5 :4).
                                      NOTE SUR LES BONNES OEUVRES
LA PRIÈRE
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      92. Que la prière peut être adressée à une autre personne que Dieu : Père, Fils et Saint- Esprit ? ( Matthieu 6 : 6; Jean 16 : 23-24; Actes 7 : 59; 1 Corinthiens 1: 2 )
      93. Que l'on peut répéter la même prière autant de fois qu'on le fait dans le chapelet- NDT : 1 Credo, 11 Pater, 53 Ave Maria et il Gloria ? ( Matthieu 6: 7; Isaïe 1: 15 )
      94. Que le « Notre Père » qui est la seule prière enseignée par Jésus-Christ, peut aussi être adressée à Marie et aux saints.
      95. Que des prières peuvent être dites après la confession comme pénitence pour expier les péchés ?
                                                          LE BAPTÊME
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
      96. Que le baptême consiste à verser un peu d'eau sur la tête d'une personne, ce qui la rend chrétienne, la lave du péché originel et la sauve ? (Matthieu 28: 19-20; Marc 16: 15-16 )
      97. Que les bébés doivent être baptisés après la naissance parce que, sans baptême, leur âme ira dans les limbes s'ils meurent ? ( Marc 10 : 13-16 )
      98. Que pour baptiser, en plus de l'eau, le prêtre doit se servit du saint chrême pour oindre le baptisé ? (Actes 8 : 36-39; 10 : 47-48)
Au sujet de la signification du baptême, les Écritures n'affirment jamais qu'il doit être administré pour procurer le salut, mais qu'il doit être donné à ceux qui sont d'abord sauvés. Le baptême est en fait le sceau que l'on pose sur la foi ( Marc 16 : 16; Actes 8: 36-37 ).
                                            NOTE SUR LE BAPTÊME
                                                LES SAINTES ÉCRITURES
Pouvez-vous prouver avec la Bible :
     99. Qu'il n'est pas permis de lire la Bible sans les notes et
l'imprimatur (permission d'imprimer donnée par
l'autorité ecclésiastique) de l'Église romaine ?
( Jean S : 39; 2 Timothée 3 : 15-17)
      100. Que la Tradition a la même autorité que la Bible ?
( Marc 7 : 7-13 Colossiens 2 : 8 Apocalypse 22 :18-19 )
                            LES ADDITIONS DES HOMMES À LA PAROLE DE DIEU
L'apôtre Paul a écrit: « C'est à cause de vous, frères, que j'ai fait de ces choses une application à ma personne et à celle d'Apollos, afin que vous appreniez en nos personnes à ne pas aller au-delà de ce qui est écrit, et que nul ne conçoive de l'orgueil en faveur de l'un contre l'autre » (1 Corinthiens 4 : 6). « Si nous-mêmes, si un ange du ciel annonçait un Évangile s'écartant de celui que nous avons prêché, qu'il soit anathème » (Galates 1: 8 ).
Contrairement à ce que l'apôtre Paul recommande, l'Église romaine a introduit peu à peu en son sein les doctrines, les cérémonies et les pratiques suivantes qui ne trouvent aucun appui dans les Saintes Écritures:
      1) Parmi toutes les inventions humaines en usage dans
l'Église romaine et contraires à l'Évangile, les plus anciennes
sont la prière pour les morts et le signe de croix qui furent
inventés vers 310. Ils furent officiellement adoptés vers 500 après Jésus- Christ.
      2) La vénération des saints morts et des anges vers l'année 375.
      3) La célébration quotidienne de la messe est entrée en usage en 394.
      4) Le culte de Marie, mère de Jésus, et l'utilisation de l'expression « Mère de Dieu », viennent du concile d'Éphèse en 431.
      5) Le monachisme a été introduit en occident par Benoît de Nurcie qui a construit le premier monastère au Mont Cassin en 528. Jésus a ordonné à ses disciples de prêcher à tous les peuples, non de se retirer dans des couvents et des monastères ( Mattieu 10 : 5-8; 28: 19-20; Marc 16: 15- 20 ).
      6) La doctrine du purgatoire a été instituée par Grégoire le Grand vers 593.
      7) La langue latine pour le culte a été imposée par le même pape en 600.
      8) Selon l'Évangile, les prières doivent être adressées à Dieu seul. Dans l'Église primitive, aucune prière n'a jamais été faite aux saints ou à Marie. Cette pratique a commencé en 600 ( Matthieu 11 : 28; Luc 1: 46; Actes 10 : 25; 26; 14 14-18 ).
      9) La papauté est d'origine païenne. Le titre de pape ou évêque universel a été donné par l'empereur Phocas à l'évêque de Rome en 607. L'empereur a fait cela pour contrarier l'évêque de Constantinople qui l'avait excommunié pour avoir fait assassiner son prédécesseur, l'empereur Maurice. L'Évêque de Rome, Grégoire le Grand, refusa le titre, mais son successeur, Boniface III, fut le premier à se parer du titre de pape. Jésus n'a désigné aucun chef parmi les apôtres, car il est le chef immortel de l'Église (Lue 22 24-26; Éphésiens 1: 22-23; Colossiens1:18; 1 Corinthiens 3 11).
      10) La virginité perpétuelle de Marie a été imposée comme dogme par le concile du Latran en 649. L'Évangile affirme que Jésus est né de la vierge Marie, mais que celle-ci a mené une vie conjugale normale après la naissance du Seigneur. C'est ainsi qu'elle a donné à Joseph quatre fils dont les noms sont connus et plusieurs filles (Matthieu 1; 25; 13 : 55-56; Actes 1: 14) NDT.
      11) Le baisement du pied du pape a commencé en 709. Les empereurs païens se faisaient baiser le pied. De nos jours, cette pratique est abandonnée, mais le pape se donne en spectacle pour être applaudi et vénéré par les foules. L'Évangile condamne cette pratique (Actes 10 :25-26; Apocalypse 19 :      10 ; 21: 22 ).
      12) Le pouvoir temporel du pape a été instauré en 754. Lorsque Pépin le Bref, l'usurpateur du trône en France, descendit en Italie à l'appel du pape Étienne II pour faire la guerre aux Lombards, il confisqua la ville et les environs de Rome qu'il donna au pape. Jésus a formellement interdit cela et il a lui-même refusé d'être fait roi (Matthieu 4 : 8-9; 20 : 25-26; Jean 18 : 36 ).
      13) L'adoration de la croix, des images et des reliques a été officiellement adopté en 787. Ce fut sur l'ordre de l'impératrice Irène de Constantinople qui avait crevé les yeux de son propre fils. Elle avait convoqué un concile à la demande d'Adrien 1ier évêque de Rome. Dans la Bible, le culte des images est appelé de l'idolâtrie et se trouve sévèrement condamné (Exode 20 : 4-6; Deutéronome 27:        15; Psaume 115 ; Jérémie 10: 1-5).
      14) L'utilisation de l'eau bénite, dans laquelle le prêtre jette une pincée de sel, fut autorisée en 850.
      15) La vénération de saint Joseph a commencé en 890.
      16) L'utilisation des cloches dans les églises a été introduite par le pape Jean XIV à Saint-Jean de Latran en 965.
      17) La première canonisation de saint a été faite par le pape Jean XV en 955.
     18) Le jeûne du vendredi et du carême fut imposé officiellement en 998. 19) La messe comme sacrifice a été développé graduellement et y assister devint obligatoire au XIe siècle. L'évangile enseigne que le sacrifice du Christ a été offert une fois pour toutes et qu'il ne doit pas être répété, mais seulement commémoré dans le repas du Seigneur (Hébreux 7 : 27; 9 : 26-28; 10: 10-14 )
      20) Le célibat des prêtres a été décrété par le pape Grégoire VII en 1079. L'Évangile, au contraire, enseigne que les serviteurs de Dieu peuvent avoir une épouse et des enfants. Pierre était marié. Paul prescrivait que les anciens (synonyme d'évêque ou pasteur) devaient avoir une famille (1 Timothée 3 : 2, 5, 12 : Matthieu 8 : 14: 15) .
      21) Le rosaire fut introduit par Pierre 1'Ermite en 1090. Le chapelet a été imité des musulmans. Compter les prières est une pratique païenne que le Christ a condamnée (Matthieu 6 5-13 ).
      22) La « sainte inquisition » pour éliminer les hérétiques a été instituée par le concile de Vérone en 1184. Jésus a condamné la violence et n'a jamais obligé personne à accepter sa religion.
      23) Les indulgences (par lesquelles on remet la punition des péchés) ont été concédées pour la première fois en 850 par le pape Léon IV à ceux qui montaient la Scala Sancta sur les genoux. Leur vente commença en 1190 et se prolongea jusqu'à la Réforme (XVIe). St-Pierre a refusé l'argent de Simon le Magicien qui croyait pouvoir acquérir le don de Dieu avec de l'or ( Actes 8: 20 ). La religion chrétienne conforme au Nouveau Testament s'oppose à un tel trafic qui a provoqué la Réforme protestante du XVIe siècle.
      24) Le dogme de la transsubstantiation a été décrété par le pape Innocent III en 1215. Avec cette doctrine, le prêtre prétend créer Jésus-Christ chaque jour et le manger en présence du peuple pendant la messe. L'Évangile condamne une telle absurdité. Dans le repas du Seigneur, le Christ est présent d'une manière spirituelle ( Luc 22 : 19-20; Jean 6:63; 1 Corinthiens 11:26 ).
      25) La confession auriculaire, ou confession des péchés à l'oreille du prêtre, a été instituée par le même pape au concile du Latran en 1215. L'Évangile ordonne de confesser les péchés directement à Dieu et à ceux que l'on a offensés. Judas s'est confessé aux prêtres et puis il s'est pendu ( Psaume 51: 1-12; Luc 7:48-50; 15:21; 1 Jean 1: 8-9 ).
      26) L'adoration de l'hostie a été décrétée par le pape Honorius III en 1220. C'est ainsi que l'Église romaine adore un Dieu fabriqué par la main des hommes. Cette pratique est le sommet de l'idolâtrie et elle est absolument contraire à l'esprit de l'Évangile ( Jean 4 : 23-24 ) .
      27) Le scapulaire a été inventé par Simon Stock. Un *carme anglais en 1287. *Religieux de l'ordre du Carmel, ordre contemplatif institué en Syrie au XIIe siècle, rangé au XIIIe siècle parmi les ordres mendiants. (On distingue les carmes chaussés, fidèles aux règles d'origine, des carmes déchaux ou déchaussés [pieds nus dans des sandales], adeptes de la réforme de saint Jean de la Croix, en 1593.)
      28) Le Baptême par aspersion a été reçu légalement par le concile de Ravenne en 1311. Le baptême selon le Nouveau Testament est une immersion dans l'eau qu'il faut administrer aux seuls croyants ( Matthieu 3 : 6, 7 et 16; 28 : 18-20; Marc 16: 16; Actes 8 : 36-37; 19: 18) .
      29) L'Église romaine a interdit la coupe de la communion aux fidèles au concile de Constance en 1415. L'Évangile demande de célébrer la communion avec du pain et du vin ( Matthieu 26 : 27; 1 Corinthiens 11 :25-27 ).
      30) La doctrine du purgatoire devint un dogme au concile de Florence en 1439. Dans l'Évangile, aucune parole ne fait allusion au purgatoire inventé par les prêtres. Le sang de Jésus-Christ est la seule purification de nos péchés (1 Jean 1: 7-9; 2 : 1-2; Jean 5 : 24; Romains 8: 1).
      31) La liste des sept sacrements a été dressée pour la première fois par Pierre Lombard en 1160 après Jésus-Christ, mais la doctrine des sept sacrements est devenue officielle au concile de Florence en 1439.
      32) « L'Ave Maria », prière adressée Marie, fut rédigée en 1196 par Odon, évêque de Paris, pour sa première partie qui est tirée de la Bible. Le pape Pie V compléta cette prière avec la seconde partie qui est « une prière de l'Église » en 1568. La Bible exhorte, en plusieurs endroits, à prier Dieu seul. La prière adressée à d'autres est considérée comme de l'idolâtrie. Marie n'a jamais dit de lui adresser nos prières.
      33) Le concile de Trente a déclaré que la Tradition devait être considérée comme ayant une autorité égale à la Bible en 1545. Par tradition, il faut entendre les enseignements humains. Les pharisiens avaient la même croyance et Jésus les a repris vivement parce qu'ils annulaient la parole de Dieu avec leur tradition humaine (Marc 7: 7-13; Colossiens 2 : 8; Apocalypse 22 : 18).
      34) Les livres apocryphes (Tobie, Judith, des compléments au livre d'Esther, Sagesse, Ecclésiastique, Baruch, Lettre de Jérémie, trois chapitres au livre de Daniel, 1 et 2 Maccabées - NDT) ont été également ajoutés à la Bible au concile de Trente en 1546. Ces livres ne sont pas reconnus par les Juifs (Apocalypse 22: 18).
      35) La profession de foi catholique de Pie IV fut imposée en 1560. Les vrais chrétiens se conforment seulement à l'Évangile et à la doctrine des apôtres qui sont plus anciens de 1500 années.
      36) La dévotion au Sacré-Coeur a été adoptée officiellement en 1765. L'Immaculée conception de Marie a été proclamée comme dogme par le pape Pie IX en 1854. L'Évangile, au contraire, déclare que tous les hommes, excepté le Christ, sont des pécheurs et que Marie elle-même a eu besoin du Sauveur (Luc 1: 30 et 46-47; Romains 3 :23; 5 : 12; Psaume 51:5).
      37) Le pape Pie IX a établi le dogme de l'Infaillibilité papale en 1870. Ceci est le sommet du blasphème et le signe de 1'apostasie et de l'antichrist annoncé par l'apôtre Paul ( 2 Thessaloniciens 2 : 2-12; Apocalypse 13 : 5-8 et 18 ). La Bible déclare qu'il n'existe aucun homme juste sur la Terre qui ne pèche jamais ( Romains 2: 4-23; 2 Thessaloniciens 2 : 3-4; Apocalypse 17 : 3-9; 13 : 18 )
      38) Pie X a condamné le modernisme et toutes les découvertes scientifiques qui déplaisent au pape en 1907. Ceci avait été fait par Pie IX dans le Syllabus de 1864.
      39) Pie XI a condamné l'école publique en 1930.
      40) Le même Pie XI a confirmé la doctrine de Marie « Mère de Dieu » en 1931. Cette doctrine fut inventée pour la première fois par le concile d'Éphèse en 431. C'est une hérésie contraire aux paroles mêmes de Marie ( Lue 1 : 46-49 ).
      41) L'Assomption de la vierge Marie a été proclamée par le Pape Pie XII en 193O. 42) Pie XII a proclamé Marie « Reine du Monde » en 1954. 43) Paul VI a proclamé Marie « Mère de I' Église » en 1964.
                             UN APPEL CHALEUREUX À CHAQUE CHRÉTIEN
CHER AMI, je sais précisément ce que vous pensez de ces choses, car moi aussi j'ai été un catholique romain sincère.
Je cherchais cependant le salut et la vérité. Je pensais qu'il devait exister une religion que je voulais la meilleure: celle que le Christ et les apôtres prêchaient et que Marie et les premiers saints professaient et pratiquaient.
Dieu et ma conscience me disaient que la vraie religion se trouve dans la Sainte Bible, parce qu'elle est l'unique livre qui contient assurément l'enseignement du Christ et des apôtres.
En lisant la Bible, spécialement le Nouveau Testament, non seulement je n'ai pas trouvé les doctrines catholiques romaines, mais ces pratiques étaient sévèrement condamnées. J'ai trouvé clairement écrit dans l'Évangile que le Seigneur Jésus-Christ est le seul sauveur des péchés et qu'il était prêt à me sauver ainsi que tous les hommes.
Le Saint Esprit m'a poussé à prier le Seigneur avec les simples paroles de Pierre: « Seigneur, sauve moi ! » (Matthieu 14 : 30), et avec celles du publicain: « O Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur ! » (Luc 18: 13).
Le Seigneur a exaucé ma prière, il a pardonné mes péchés et il m'a donné la paix de mon âme. Serez-vous surpris si je vous dis que j'aime maintenant le Seigneur Jésus-Christ plus que toute autre personne dans le ciel et sur la Terre ?
« Mon âme exalte le Seigneur et mon esprit exulte (éprouver une joie très intense) en Dieu mon Sauveur » (Luc 1 46-47).
NAITRE DE NOUVEAU
« Ne t'étonnes pas que je t'aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau. » Jean 3:7
« Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu » (1 Jean 5 : 13).
ASSEMBLÉE CHRÉTIENNE Association sans but lucratif Rue de Forrière, 321, 6180 COURCELLES (Belgique)
Traduit et imprimé avec l'autorisation des ÉDIZION CENTRO BIBLICO
La nouvelle naissance n'est pas humaine mais spirituelle. Pour naître de nouveau et ainsi être sauvé et participer à la gloire de Dieu et à la construction de son royaume, tout homme, parce qu'il est pécheur, doit reconnaître sa nature pécheresse et s'en repentir en prière directement au Seigneur. Il faut lui demander pardon et croire que son sacrifice sur la croix nous a sauvées de cet état de pécheur.