​Idolâtrie et sorcellerie

Idolâtrie et religions
Dans la plus part des religions , on constate que beaucoup d’entre elles utilisent des statues représentatives dans des lieux de cultes ou de pèlerinage. Des statues devant lesquelles tous se prosternent. Pourtant la Bible est très claire. Il nous faut voir les choses à la lumière des écritures.

    
​      Conservée à Argenteuil depuis 1200 ans, la tunique dans laquelle le Christ aurait vécu ses derniers instants sur terre sera exceptionnellement exposée l'année prochaine pour l'année de la Miséricorde. L'étoffe aurait été portée par le Christ, de la cène jusqu'à la crucifixion. Cette relique, l'une des plus sacrées du christianisme, sera exceptionnellement exposée du 25 mars au 10 avril 2016 en la basilique Saint-Denys d'Argenteuil dans le Val d'Oise. Fait méconnu, la tunique y est conservée depuis près de 1200 ans. Elle aurait été offerte à Charlemagne au début du IXème siècle par l'impératrice Irène de Constantinople qui cherchait à consolider son empire. Charlemagne confiera la relique à sa fille Théodorade, prieure du monastère d'Argenteuil. Dissimulée dans un mur lors des invasions vikings, découpée et enterrée par un prêtre à la Révolution française, volée puis restituée dans les années 1980... la relique porte les stigmates du temps mais elle a toujours fini par retrouver sa châsse d'Argenteuil.[Ostension de la Sainte tunique du Christ en la basilique Saint-Denys d'Argenteuil, le 14 avril 1984.]Visible seulement deux fois par siècle, la prochaine ostension aurait dû avoir lieu en 2034. Mais l'évêque de Pontoise a décidé de précipiter les choses pour 2016. Non pas parce qu'en 2034, Mgr Stanislas Lalanne aura 86 ans et ne sera «plus certain de pouvoir assumer» un tel événement, comme il l'affirme en plaisantant, mais bien pour une conjonction de trois événements importants en 2016. Le diocèse de Pontoise fêtera son cinquantième anniversaire, tout comme la basilique d'Argenteuil qui soufflera ses 150 bougies. Mais 2016 sera surtout l'année de la miséricorde, décrétée par le pape François. «Or, cette tunique est le témoignage concret de la miséricorde du Christ, mort sur la croix pour le pardon de nos pêchés», estime Mgr Lalanne qui précise: «Tout le monde est invité à venir la voir, quelle que soit sa religion, et que ce soit dans une démarche de foi ou par simple curiosité.»

Présence de sang sur le dos et les épaules

L'exposition de cette relique, à laquelle pas moins de 150.000 personnes sont attendues, pose inévitablement la question de son authenticité. Depuis le XIXème siècle, de nombreux scientifiques se sont penchés sur la question. Ainsi, il a été démontré que la matière, la teinture et la méthode de tissage correspondent aux pratiques en vigueur en Syrie et en Palestine dans les premiers siècles de notre ère. Une étude réalisée entre 1932 et 1934 a par ailleurs décelé la présence de sang sur le dos et les épaules, à l'endroit où la croix portée par le Christ aurait reposée lors de sa montée au calvaire. Une datation au carbone 14, réalisée en 2004, a cependant apporté un bémol, déclarant que la tunique avait été tissée entre 530 et 640. Un résultat à relativiser, selon le diocèse, tant il a pu être faussé par l'histoire tumultueuse de la tunique, longtemps enfouie et plusieurs fois au contact de matière organique en décomposition.

Fait notable, le sang retrouvé sur la tunique appartient au même groupe AB que celui présent sur le linceul de Turin et le Suaire d'Oviedo. La probabilité pour qu'une telle coïncidence se produise était d'une chance sur 8000, selon le diocèse. Par ailleurs, sept pollens communs ont été retrouvés sur les trois reliques, et deux d'entre eux proviennent uniquement de Palestine: ceux d'un pistachier, Pistacia palestina, et d'un tamarin, Tamarix hampeana. «Le débat sur son authenticité est important, mais pas essentiel», assure Mgr Lalanne. «Sa vénération n'est pas de l'ordre du dogme, mais elle doit être avant tout un appui solide à notre foi dans un monde en perte de sens.»

Les points forts:

Ô Marie, Reine du ciel et de la terre....Si Jésus est le Roi des rois, alors Marie est-elle sa femme ?

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  Jour férié très attendu, la Pâque est encore très fêtée dans l'hexagone. Dépouillée de toute croyance chrétienne, elle n’est plus qu’un prétexte supplémentaire pour se distraire alors qu’en réalité, elle devrait amener chaque homme à rendre grâces à Dieu. Ainsi, les foyers n’hésitent pas à s'équiper de tous les symboles païens pour se réjouir.


   Les vitrines et les rayons des magasins s'ornent et se remplissent de poussins, poules, couvées, canards, lapins, œufs en sucre, en nougat ou en chocolat. Une fois achetées, ces babioles enrubannées, font l'objet d'une chasse au trésor bien fournie. Adultes et plus jeunes y prennent un vrai plaisir et s'amusent à cacher pour les uns, à découvrir pour les autres, ces friandises dans le jardin ou dans le salon. Force est de constater que le paganisme a réussi à provoquer une «crise de foi(e)» à grande échelle car, de nos jours, peu de personnes connaissent la véritable origine de la Pâque et ignorent qu'elle ne se résume pas à une banale orgie chocolatée. Il est clair que tout est fait pour cacher la véritable signification de cette fête afin de maintenir la masse populaire dans une tromperie qui la rend captive de l'ignorance.

   Le mot « Pâque » vient de l’hébreu « Pesah » qui signifie « passage ». Sous l’Ancienne Alliance, cette fête marquait d’une part, le passage de l'ange exterminateur qui avait épargné les premiers-nés hébreux tandis que ceux des égyptiens furent frappés de mort. D’autre part, elle était célébrée en mémoire du passage (ou traversée) de la mer rouge, symbole de la délivrance définitive du peuple élu du joug égyptien. Avant leur fuite du pays d’Egypte, les hébreux ont dû prendre en toute hâte le repas de la Pâque. Il était composé d'un agneau âgé d’un an, sans défaut et rôti au feu, de pains sans levain et d'herbes amères (Exode 12 : 1-14). Or nous savons que tout ce rituel n'était que l'ombre des choses à venir.

   Sous la Nouvelle Alliance, Jésus Christ est notre Pâque. Il est l'agneau pascal (le sacrifice), sans tâches (parfait), sans péché (pain sans levain), qui a été immolé sur la croix pour libérer l'humanité entière du péché et de sa conséquence : la mort (Jean 1 : 29 ; Romains 6 :23). Il a été offert gracieusement par Dieu pour affranchir ses créatures de l'amertume d'une vie privée de sa glorieuse présence (sans herbes amères).
En effet, notre nature pécheresse nous vouait inexorablement à une fin éternelle dans la géhenne, loin de notre Créateur. Mais Dieu n'a pas attendu que l'homme fasse le premier pas (Romains 5:8), Il s’est lui-même dépouillé pour se rapprocher de nous. Il a été le premier à nous témoigner son amour infini et universel au travers du sacrifice de son Fils unique, Jésus Christ, afin que ceux qui croient en lui et le reconnaissent comme leur Sauveur personnel soient sauvés (Jean 3 : 16 et Ephésiens 2 : 4-5).

L'amour de Dieu est inconditionnel et mystérieux. Il ne peut pas s'expliquer par des raisonnements, il se reçoit tout simplement par la foi. La seule chose que l'homme puisse faire, c’est d'accepter le don de Dieu. Il sera alors réconcilié avec Dieu, recevra le pardon de ses péchés et la vie éternelle (Actes 13 :38 ; 1 Jean 4 : 9-10). Ainsi, le Seigneur, nous ayant affranchis de la servitude du péché et de la convoitise du monde, nous a déjà fait passer dans son royaume où une place nous est réservée lorsque nous le rejoindrons définitivement (Jean 14 :2).

« Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière, qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour, en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés » Colossiens 1 :12-14.


Source du texte : http://www.lesdokimos.org/